Description
Le Guillemot marmette (Uria aalge) et le Guillemot de Brünnich (Uria lomvia), de même que leurs proches parents, soit les Petits Pingouins, les Mergules nains, les Macareux moines et d’autres espèces de macareux, appartiennent à un groupe d’oiseaux de mer noir et blanc ressemblant aux pingouins et appelés alcidés
Ces deux espèces de guillemots se ressemblent beaucoup. En été, les oiseaux ont le dos, le cou et la partie supérieure de la poitrine noirs, tandis que le reste du corps est d’un blanc brillant, si bien qu’ils semblent porter un élégant smoking. En hiver, la gorge, les joues et le haut de la poitrine deviennent blancs. En été, le dos du Guillemot de Brünnich est plus foncé et plus brillant que le plumage brun chocolat du Guillemot marmette; en hiver, ce dernier arbore une bande blanche à partir de l’œil jusqu’à l’arrière de la tête.
Les deux espèces ont un bec noir, pointu, effilé comme un poignard et quelque peu aplati sur les côtés; cependant celui du Guillemot de Brünnich est plus court et plus épais que celui du Guillemot marmette. En été, on peut distinguer le Guillemot de Brünnich par la bande blanche le long du tranchant de la mandibule supérieure.
Les Guillemots adultes pèsent environ 1 kg et leur taille atteint 30 cm.
Signes et sons
Signes et sons Les colonies de ces guillemots sont des endroits très bruyants, car les oiseaux avoisinants se querellent violemment en émettant des grognements gutturaux, soit aargh, et les compagnons se saluent avec des crescendos perçants. Les adultes reconnaissent le pépiement distinctif de leur petit sur les corniches surpeuplées, pépiement qu’il a lancé de sa coquille pour la première fois, juste avant l’éclosion. Lorsque les petits se préparent à quitter la colonie, leurs pépiements deviennent des notes stridentes de oui-oui, et les adultes ainsi que les oisillons peuvent communiquer grâce à des piaillements en mer lorsqu’ils commencent leur migration à la nage.
Haut de la pageHabitat et habitudes
Ces oiseaux de mer se trouvent au large des côtes canadiennes de l’Atlantique et du Pacifique toute l’année. Le Guillemot marmette préfère les eaux complètement libres de glace, tandis que le Guillemot de Brünnich vit presque toute l’année dans les zones plus froides où flottent au moins quelques morceaux de banquise.
Ces guillemots ne sont pas très doués pour le vol et pour la marche. Comme leurs ailes sont plus petites que celles d’autres oiseaux de la même taille, ils doivent, pour s’envoler, battre des ailes très rapidement ou se déplacer longtemps à la surface de l’eau et, souvent, prendre leur élan à partir de la crête des vagues. Mais une fois dans les airs, ils volent rapidement, leur vitesse atteignant environ 75 km/h.
Puisque leur queue est très courte, ils se servent de leurs pieds comme gouvernail lorsqu’ils volent, les écartant pour les manœuvres compliquées. Ils sont incapables de changer brusquement de direction et ont du mal à se poser sur la terre ferme dans leur colonie de nidification par temps orageux; il leur arrive parfois de se buter contre les falaises et d’avoir à s’y reprendre à plusieurs fois avant de réussir à atterrir sur une corniche.
Les Guillemots sont maladroits lorsqu’ils marchent parce que leurs pieds sont placés tout à fait à l’arrière de leur corps. Ils se dandinent sur leurs hanches ou trébuchent ici et là en s’aidant de battements d’ailes vigoureux.
Toutefois, ces espèces ne comptent pas fortement sur le vol ou la marche, car elles passent de huit à neuf mois chaque année en mer, ne venant sur le rivage que pour se reproduire. Par ailleurs, elles excellent à la nage et au plongeon.
Caractéristiques uniques
À la différence de nombreux canards qui se propulsent sous l’eau au moyen de leurs pieds, ces guillemots plongent en battant de leurs ailes à demi ouvertes, comme s’ils volaient sous l’eau. Leurs ailes doivent donc être relativement courtes, car tout déplacement dans l’eau exige un plus gros effort que dans l’air puisque la résistance de l’eau est beaucoup plus grande. Leurs muscles pectoraux très développés, nécessaires pour les battements d’ailes rapides, représentent environ un quart de leur masse totale. Si ces guillemots étaient plus gros, leurs ailes ne pourraient pas leur permettre de se mouvoir dans les airs et dans l’eau. Les Grands Pingouins, une espèce disparue, étaient beaucoup plus grands que les Guillemots et pouvaient peser jusqu’à 5 kg; malgré leurs petites ailes qui en faisaient de très bons plongeurs, ils étaient incapables de voler, tout comme les manchots.
Le Guillemot marmette et le Guillemot de Brünnich peuvent demeurer submergés pendant plusieurs minutes à la fois. Ils plongent communément à 100 m, et on en a retrouvé qui s’étaient noyés dans des filets de pêche tendus jusqu’à 180 m de profondeur. On a du mal à concevoir qu’un oiseau atteigne de telles profondeurs, où la pression est énorme, et y trouve sa nourriture dans l’obscurité qui y règne.
L’extraordinaire migration à la nage des oisillons du Guillemot de Brünnich de l’Arctique est un phénomène unique chez les oiseaux. Dès l’âge de trois semaines environ, ils effectuent de longues migrations entre leur aire de reproduction et leur aire d’hivernage au large de l’île de Terre-Neuve. La première partie de ce voyage, peut-être jusqu’à 1 000 km, se fait entièrement à la nage, parce que les jeunes oiseaux ne sont pas capables de voler avant d’avoir atteint l’âge d’un mois et demi environ. Ils continuent de grossir pendant leur séjour en mer, nourris par leur père qui les accompagne et qui, la plupart du temps, est lui aussi incapable de voler pendant la mue, c’est-à-dire avant que ne poussent de nouvelles plumes à ses ailes. Aucune autre espèce ne franchit une telle distance à un si jeune âge où le vol est encore impossible. Certains Guillemots de Brünnich qui se trouvent en hiver dans les eaux au large de la côte Est du Canada viennent d’aussi loin que le Groenland, la Russie et la Norvège, tandis que les Guillemots marmettes observés dans les eaux de la Colombie-Britannique viennent de l’Alaska vers le nord, de même que de l’Oregon et de l’État de Washington vers le sud.
Haut de la pageAire de répartition
La plus grande partie de l’aire de répartition canadienne des Guillemots marmettes se trouve dans le golfe du Saint-Laurent au Québec et le long des côtes de Terre-Neuve et du Sud du Labrador. Un petit nombre d’entre eux nichent sur les îles au large de la côte de la Nouvelle-Écosse et dans la baie de Fundy. Ils se reproduisent aussi sur des îles côtières et des promontoires, de la Californie à l’Alaska; plusieurs milliers d’individus nichent sur des îles au large de la côte de la Colombie-Britannique. En automne, ces oiseaux migrent le long des côtes vers des endroits où la nourriture d’hiver est abondante, habituellement à moins de 1 000 km de leur colonie. Les Guillemots marmettes reviennent pour la première fois à leur aire de reproduction en mars et, vers la fin d’avril, ils établissent leur nid sur les corniches rocheuses de la colonie.
Certains Guillemots de Brünnich nichent en petits nombres parmi des Guillemots marmettes sur les côtes pacifique et atlantique, mais la plupart se reproduisent dans les régions arctiques du Canada, de l’Alaska et du Groenland, au nord du 60e parallèle. Ils se regroupent dans quelques vastes colonies, comme celle de l’île Digges, dans le nord de la baie d’Hudson, où environ 300 000 couples de Guillemots nichent sur des falaises abruptes hautes de 200 mètres.
Chaque année, avant que la banquise ne se forme, les Guillemots de Brünnich qui se reproduisent dans l’Ouest du Groenland et dans l’Est de l’Arctique canadien quittent les colonies en août pour se diriger vers le sud et atteindre les eaux de Terre-Neuve-et-Labrador vers novembre. Ils nagent en direction du sud avec les courants dominants; leurs ailes muent pendant ce temps, ce qui les rend incapables de voler pendant une période pouvant atteindre un mois. Ils peuvent parcourir une distance allant jusqu’à 6 000 km en trois mois durant leur migration de l’Extrême-Arctique à la côte atlantique du Canada. En hiver, ces oiseaux se trouvent en grand nombre dans les baies de la côte de Terre-Neuve, sauf là où la glace marine recouvre la surface, et sur les Grand Bancs jusqu’aux limites du plateau continental.
Les Guillemots de Brünnich de la côte atlantique reviennent à leur aire de nidification en avril et en mai, surtout en volant, quand la banquise commence à se désagréger sous l’effet du courant du Labrador. Ils regagnent leur colonie avant juin pour la courte saison de nidification arctique. Par ailleurs, on sait peu de choses sur les déplacements de ces oiseaux sur la côte pacifique, qui ne sont que quelques centaines au total. Les rares individus qui hivernent au large de la partie septentrionale de la Colombie-Britannique proviennent probablement des colonies de l’Alaska.
Haut de la pageAlimentation
Les Guillemots marmettes et les Guillemots de Brünnich passent presque toute leur vie sur l’eau et plongent pour se nourrir de poissons, de calmars et de krill (crustacés ressemblant à des crevettes); en fait, leur alimentation comprend presque toute espèce marine dont la taille équivaut à un poisson pesant jusqu’à 30 g. Ces guillemots peuvent s’approcher des bancs de poissons nageant à une grande profondeur et les attaquer par en dessous quand ils se profilent contre la faible lumière venant de la surface.
Haut de la pageReproduction
Au début de la saison de reproduction, ces espèces se rendent dans la colonie seulement de temps en temps, mais à mesure que la date de la ponte approche, au moins un membre de chaque couple reste au site de reproduction.
Pour se reproduire, la plupart des individus choisissent des endroits où les prédateurs comme les renards ne peuvent pas les atteindre, par exemple, des corniches étroites sur des falaises escarpées ou des îlots rocheux abrupts et, dans le cas des Guillemots marmettes, sur des îlots rocheux plats. Dans les endroits que fréquentent les deux espèces, le Guillemot marmette occupe généralement les endroits plats plus vastes et le sommet des rochers, tandis que le Guillemot de Brünnich est confiné aux rebords étroits.
Ces oiseaux ont tendance à se reproduire en vastes colonies, la plus grande du Canada se trouvant sur l’île Funk, à 55 km au large de la côte nord-est de l’île de Terre-Neuve, où quelque 340 000 couples de Guillemots marmettes se rassemblent sur environ 1,5 ha, l’équivalant d’environ trois terrains de football. On imagine facilement le bruit assourdissant des cris perçants des adultes et des oisillons, ainsi que l’odeur des poissons non consommés et des fientes (excréments) de ce nombre élevé d’oiseaux dans un endroit si petit!
Les deux espèces de guillemots commencent à se reproduire avec succès seulement vers l’âge de cinq ans et pondent en général un seul œuf par saison de repro- duction. Ils ne construisent pas de nid, l’œuf unique étant pondu directement sur la corniche rocheuse. Les deux parents couvent continuellement, à tour de rôle, cet œuf relativement gros — environ 100 g. Un parent s’y emploie un jour ou deux à la fois, pendant que l’autre va s’alimenter en mer. Pour garder l’œuf au chaud, l’oiseau le glisse sous ses plumes, tout contre la peau nue de la « plaque incubatrice » située au bas du ventre.
Il arrive que l’œuf tombe de la corniche étroite, surtout si les oiseaux s’envolent parce qu’ils sont perturbés ou effrayés ou si des mouettes et goélands et des corbeaux attaquent en piqué pour voler l’œuf. Quand un œuf est perdu, la femelle peut en pondre un deuxième au bout d’environ deux semaines. À l’occasion, si deux œufs sont perdus l’un après l’autre, elle peut en pondre un troisième, mais il s’agit du maximum pour la saison. Un oisillon éclos d’un œuf tardif n’aura peut-être pas le temps de se développer suffisamment avant la fin du court été, moment où il quitte la colonie.
L’œuf éclot au bout d’un mois, et l’oisillon qui naît est couvert d’un plumage isolant de duvet. Les parents continuent à le couver aussi longtemps qu’il reste dans la colonie. Un parent reste toujours avec l’oisillon tandis que l’autre lui apporte de la nourriture, habituellement du poisson pesant de 5 g à 20 g, qu’il a pu pêcher à une distance pouvant atteindre 100 km de la colonie. En trois semaines, l’oisillon passe d’environ 70 g au moment de l’éclosion à environ 250 g, soit un quart de la masse d’un adulte, tandis que son duvet est peu à peu remplacé par un plumage imperméable.
À l’âge de trois semaines, l’oisillon essaie ses ailes et se prépare à quitter la colonie, accompagné du parent mâle. À cet âge, les plumes lui permettant de voler n’ont pas encore poussé, et ses ailes courtes et épaisses ne sont pas suffisamment grandes pour qu’il puisse décoller. Dans les colonies se trouvant sur de hautes falaises, dont certaines dépassent 500 m de hauteur, l’oisillon se précipite de la corniche et plane jusqu’à la mer, suivi de près par son parent. Dans les colonies situées sur des îles basses, l’oisillon et l’adulte marchent tant bien que mal jusqu’à l’eau. L’oisillon quitte la colonie de reproduction pour la première fois tard dans la soirée, de façon à être, à l’aurore, aussi loin que possible des mouettes et goélands prédateurs se trouvant aux alentours de la colonie. L’oisillon et le parent commencent ensuite leur migration ensemble. La femelle quitte la colonie seule presque aussitôt. L’oisillon reste avec le parent jusqu’à ce qu’il atteigne la taille adulte et puisse voler et se nourrir seul, probablement vers l’âge de deux mois.
Haut de la pageConservation
Les deux espèces de guillemots comptent parmi les oiseaux de mer les plus nombreux de l’hémisphère Nord. Un peu plus d’un million de Guillemots marmettes et environ trois millions de Guillemots de Brünnich se reproduisent au Canada, ce qui représente 7 p. 100 et 16 p. 100, respectivement, des populations mondiales de ces deux espèces. Le nombre de Guillemots marmettes semble avoir augmenté considérablement au cours des 50 dernières années. Bien que le nombre des Guillemots de Brünnich reproducteurs au Canada ait peut-être connu un déclin au cours des années 1960 et 1970, à l’heure actuelle, il semble être stable ou à la hausse. Toutefois, la chasse a complètement éliminé quelques colonies de l’Ouest du Groenland au cours du XXe siècle, et on ne constate aucun rétablissement.
Les activités humaines ont une incidence sur ces espèces. Les chasseurs abattent certains oiseaux au moment de la migration au large des côtes du Groenland, et les peuples autochtones du Canada en tuent quelques milliers près des colonies de reproduction au cours de la traditionnelle chasse annuelle de subsistance. La plus grande chasse aux Guillemots se fait au large de Terre-Neuve et du Labrador, où environ 200 000 individus (des Guillemots de Brünnich pour la plupart) sont tués chaque hiver pendant la chasse traditionnelle. Ce nombre, qui peut être soutenu par les populations de Guillemots, représente une baisse par rapport au maximum de plus d’un demi-million d’oiseaux au début des années 1980 et résulte de l’imposition de règlements de chasse plus sévères à compter de 1993. Ces règlements ont été adoptés pour tenir compte des modifications apportées à l’équipement de chasse. L’utilisation d’articles comme le fusil de chasse semi-automatique et les puissants hors-bord en fibre de verre, dont la vitesse approche de celle des Guillemots, a rendu ces oiseaux plus vulnérables aux chasseurs.
Ces oiseaux de mer peuvent vivre très longtemps — jusqu’à 25 ans environ — mais bon nombre meurent très jeunes, victimes de la chasse autorisée, souvent au cours de leur premier hiver. Près de la moitié des individus abattus ne sont âgés que de quatre à huit mois; de loin, il est impossible de distinguer les jeunes oiseaux des plus vieux.
Comme ces oiseaux passent de si longues périodes en mer, ils sont particulièrement vulnérables à la contamination par les hydrocarbures qui flottent à la surface de l’eau. D’après les relevés du Service canadien de la faune menés dans le Sud-Est de Terre-Neuve-et-Labrador, 70 p. 100, en moyenne, de tous les Guillemots trouvés morts sur les plages en hiver ont les plumes agglutinées de pétrole, surtout par du combustible de soute. De récentes estimations révèlent que, certaines années, jusqu’à 200 000 Guillemots de Brünnich et 30 000 Guillemots marmettes périssent en raison de la pollution par les hydrocarbures dans les eaux du Canada atlantique.
Un plus petit nombre de Guillemots marmettes meurent chaque année, sur la côte pacifique du Canada, surtout en raison de la pollution par les hydrocarbures et de leur empêtrement accidentel dans des filets de pêche.
Bien que les sortes de poissons que l’on trouve dans le Nord-Ouest de l’Atlantique aient changé depuis les années 1970, les Guillemots arrivent toujours à trouver assez de nourriture en hiver en se tournant vers différentes sources d’alimentation.
La plupart des grandes colonies de Guillemots du Canada sont maintenant protégées en tant que refuges de faune fédéraux ou provinciaux, où l’accès est réservé aux chercheurs et aux gestionnaires des espèces sauvages qui étudient ces oiseaux et surveillent la santé de leurs populations. Toutefois, il existe plusieurs endroits au Canada où il est possible d’observer ces espèces sans les perturber. On peut voir des colonies très nombreuses à partir des falaises spectaculaires du cap St. Mary’s, sur la presqu’île Avalon, dans le Sud-Est de Terre-Neuve-et-Labrador, et à partir de bateaux d’excursion dans la baie Witless juste au sud de St. John’s (Terre- Neuve-et-Labrador) ainsi que sur l’île Bonaventure, en Gaspésie (Québec). On les observe aussi au large, à partir des traversiers et des caboteurs de Terre-Neuve et du Labrador ainsi que dans les eaux abritées entre l’île de Vancouver et le continent, en Colombie-Britannique et dans l’État de Washington.
Le Canada et d’autres pays de l’Arctique ont instauré des plans de conservation des Guillemots. Si tous et chacun, chasseurs, observateurs d’oiseaux, pêcheurs et touristes, ont un comportement responsable et prennent pleinement conscience des conséquences éventuelles de leurs actions, ils contribueront ainsi à préserver ces oiseaux fascinants dans les paysages marins du Canada.
Haut de la pageRessources
Ressources en ligne
National Audubon Society (en anglaiset en espagnol seulement)
Ressources imprimées
BROWN, R.G.B. Atlas révisé des oiseaux de mer de l’est du Canada, vol. 1, Relevés effectués à bord de bateaux, Ottawa, Service canadien de la faune, 1986.
BROWN, R.G.B., D.N. NETTLESHIP, P. GERMAIN, C.E. TULL et T. DAVIS. Atlas des oiseaux de mer de l’est du Canada, Ottawa, Service canadien de la faune, 1975.
GASTON, A.J., et D.N. NETTLESHIP. La Marmette de Brünnich de l’île Prince-Léopold, monographie no 6, Ottawa, Service canadien de la faune, 1983.
GODFREY, W.E. Les oiseaux du Canada (éd. rév.), Musées nationaux du Canada, réimprimé en 1989, LaPrairie (Québec), Éditions Marcel Broquet, en collaboration avec le Musée national des sciences naturelles, 1986.
TUCK, L.M. Les marmettes, monographie no 1, Ottawa, Service canadien de la faune, 1965.
© Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par le ministre de l’Environnement, 1989, 2000, 2003, 2005. Tous droits réservés.
No du catalogue CW69-4/73-2003F-IN
ISBN 0-662-89093-0
Texte : A.J. Gaston et R.D. Elliot
Révision scientifique : R.D. Elliot, J.W. Chardine et J.M. Hipfner, 2003
Révision : Maureen Kavanagh, 2003, 2005
Photo : Fred Bruemmer